Salon BeCommerce à Paris : interview de l’organisateur et d’un exposant

Les 3, 4 et 5 avril 2012, le Centre d’Expositions de Paris Porte de Versailles a accueilli la deuxième édition du salon BeCommerce pour les professionnels du e-commerce.Un évènement organisé pour la deuxième fois et attenant cette fois à deux autres salons organisés conjointement par Tarsus France: le SECA (salon de la stratégie clients) et la troisième édition de Buzzness Mobile (salon du marketing mobile, du commerce mobile et du paiement mobile). Rencontre avec Alain Guiet, Responsable Développement de BeCommerce, et avec xx représentant la société Venda, fournisseur mondial de solutions cross-canal en mode SaaS.

 

Salon BeCommerce à Paris : Venda, Rencontre avec William Jameson, Directeur de la distribution indirecte.

 

Plateforme de conception e-commerce cross-canal en SaaS, Venda a été créée en Grande-Bretagne, s’est développé aux USA et en Thaïlande, avant d’arriver en France, un territoire majeur pour le e-commerce selon William Jameson, son directeur de la distribution indirecte. « Nous croyons qu’en Europe il y a 3 marchés particulièrement importants: la France, les Pays-Bas et l’Allemagne, en plus de la Grande-Bretagne »

A la question « Pourquoi la France ? », notre interlocuteur répond : « pour se convaincre de l’importance de la France dans notre domaine, il suffit de voir le niveau de transactions, et le nombre de compagnies qui font des transactions, aussi bien en B2B qu’en B2C. »

Confronté à nombre de concurrents en matière de plateformes de développement e-commerce, la question se pose alors des avantages spécifiques de Venda et ses avantages concurrentiels. Ce à quoi William Jameson répond : « Nous sommes uniques car nous avons une solution unique en SaaS pour tous nos clients et de bout en bout. Des clients dont les données sont hébergées dans nos datacenters aux USA et en Grande-Bretagne. Nous sommes aussi leaders en nombre et en puissance des fonctionnalités. Enfin, nous avons une démarche de convergence cross-canal. Nous avons compris depuis longtemps que nos clients auront besoin d’être présents sur tous les canaux: web, mobile, social, call centers, etc. Nous sommes prêts pour le futur car nous sommes en avance sur notre marché et notre  plateforme s’améliore à chaque mise à jour (les corrections s’appliquent de manière transparente sur l’ensemble de notre base d’utilisateurs). Nos clients nous sont d’une grande fidélité et nous gagnons régulièrement des clients venant d’autres plateformes. Ils sont par exemple attirés par notre gestion pointue de la sécurité, un enjeu majeur ! Nous étions le premier acteur du secteur à être certifié PCI-DCSS Level One (depuis 2008). En outre, l’assurance d’un ROI rapide en plus de cette0 sécurité nous fait gagner beaucoup de dossiers face aux concurrents (Demandware par exemple). Notre mode de rémunération est souple pour des projets de diverses ambitions: un abonnement mensuel par site auquel s’ajoute un transaction fee (de quelques cents, pas un pourcentage contrairement à Demandware ou autre). Le revenue share devient un vrai poids financier quand le CA réalisé grimpe et devient très important. »

Récemment Venda s’est lancé dans l’indirect, sans tourner le dos complètement au direct. Ce que confirme M.Jameson : « Nous avons deux modèles de commercialisation. En direct d’abord, par exemple avec Tesco, Universal ou Orange. En indirect, avec des partenaires de type web agencies, départements marketing, etc. »

Et quand on demande à notre interlocuteur s’il a un message particulier à transmettre aux partenaires, ou à ceux qui voudraient le devenir, il répond : « nous rendons possible pour les partenaires la génération de marges significatives avec une solution puissante et fiable. Notre ambition est d’encourager les partenaires, les web agencies, de construire leurs solutions sur Venda. D’être reconnus et validés par Venda afin de mettre sur pied des solutions tournant avec notre plateforme ».