Après une phase initiale réussie, Leviia, la start-up française spécialisée dans le stockage et la sauvegarde de données, étend la portée de sa solution de stockage objet et entend développer sa distribution indirecte.
2024 marque déjà un tournant dans le développement de Leviia : La start-up spécialisée dans le stockage de donnée voit grand pour son réseau de distribution : Augmentation des ressources dédiées aux partenaires au sein équipe commerciale, ajouts de fonctionnalités clés, ajustement des avantages tarifaires, et lancement de son 1er programme partenaires.
Leviia compte déjà dans son réseau de revendeurs et distributeurs JDC Group, Econocom, Worldline, Rediam, et ESI Informatique.
Pour les revendeurs, la solution Leviia Stockage Objet propose une interface de gestion clients simple à utiliser facilitant le suivi et le management des clients finaux : Facturation, consommation, et fonctionnalités. En devenant partenaires Leviia, les revendeurs et distributeurs accèdent également à des conditions tarifaires privilégiées et un support personnalisé délivré par des équipes françaises.
Quentin Maury, Directeur commercial de Leviia « Les revendeurs aiment notre solution pour son prix, pour la souveraineté mais aussi parce que nous leur simplifions la vie : prix prévisibles, support réactif en français, et une console facile à utiliser avec gestion aisée des clients, des quotas et de la facturation. Face aux géants impersonnels et complexes, notre approche est celle d’une relation de proximité et d’efficacité ».
« Sur l’object storage, quand elles existent, les offres des acteurs US pour les revendeurs et intégrateurs sont soit trop chères, soit trop compliquées à comprendre et ne peuvent pas garantir à 100% la confidentialité des données. Notre stratégie est donc de conquérir des parts de marché en proposant tout le contraire : une offre facile à comprendre, souveraine, économique. Le succès est au rendez-vous : nous avons multiplié par 4 le nombre de nos clients revendeurs depuis six mois. Notre objectif est de maintenir cette croissance et que l’indirect devienne une part importante de notre revenu, soit 50% sur le moyen terme.
