Press release

Selon de nouveaux rapports de Visa, la cybersécurité joue un rôle primordial face à l’évolution des menaces

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Visa Inc. (NYSE:V), chef de file mondial en matière de paiements numériques, présente aujourd’hui une nouvelle analyse de l’évolution de la fraude depuis la phase culminante de la pandémie, mettant en évidence le fait que les criminels ciblent à la fois les vulnérabilités en ligne et hors ligne, dans un contexte où notre quotidien se caractérise par la combinaison d’expériences physiques et de commerce électronique.

« Alors que le commerce physique renoue avec les niveaux prépandémiques, les escrocs sont de retour pour exploiter les failles des magasins, tout en continuant à profiter notamment du commerce électronique par le biais de logiciels malveillants, de ransomwares et d’attaques de phishing », a déclaré Paul D. Fabara, Chief Risk Officer chez Visa. « Nous continuons d’ailleurs à observer des taux élevés de clonage, dépassant les niveaux déjà élevés de l’hiver 2021, qui voient les fraudeurs profiter de l’augmentation des activités en magasin. »

Deux nouvelles études – le dernier Visa Biannual Threats Report, ainsi que l’étude « Moving Money in a Digital World » du MIT Technology Review Insights, publiées aujourd’hui en partenariat avec Visa – mettent en évidence les nouvelles menaces et celles qui ressurgissent dans l’économie postpandémique.

Alors qu’au début de la pandémie de COVID-19, la fraude était surtout axée sur les arnaques en ligne, les attaques visant les personnes sont désormais en hausse, à mesure que les criminels élargissent leur champ d’action pour s’attaquer à nouveau à des cibles physiques. Au cours de l’année écoulée, on a constaté une augmentation des menaces liées directement aux cartes, telles que le clonage physique aux guichets automatiques et aux terminaux des points de vente, une tendance qui risque de perdurer. Ainsi, de juin à novembre 2021, Visa a constaté une augmentation de 176 % des dispositifs de clonage physique par rapport aux douze mois précédents1.

Commerce numérique et cryptomonnaies: des cibles privilégiées pour les fraudeurs innovants

Malgré tout, le commerce numérique, qui a connu une véritable accélération avec la pandémie, reste la cible favorite des cybercriminels.

Plus de trois quarts des cas de fraude et de violation de données passés au crible par l’équipe Global Risk de Visa concernaient des commerçants en ligne, généralement des attaques basées sur l’ingénierie sociale et les rançongiciels. Les opérations de clonage numérique visant les plateformes de commerce électronique et les intégrations de codes tiers sont monnaie courante.

Ces attaques soulignent à quel point il est nécessaire de mettre en place des contrôles de sécurité rigoureux sur les sites Web des commerçants et les solutions de paiement, afin de garantir que le code externe n’est pas activé dans les environnements sensibles des titulaires de cartes. En effet, 42 % des personnes interrogées dans le cadre du MIT Technology Review Insights report estiment que les mesures de sécurité sont importantes pour leurs clients, et 59 % considèrent que les menaces de cybersécurité constituent le premier obstacle à l’expansion des paiements numériques. Un grand nombre d’entre eux privilégient les capacités de sécurité avancées telles que les certificats numériques (32 %), l’intelligence artificielle et l’autorisation renforcée (43 %).

Outre les attaques visant la monnaie classique, les fraudeurs ont recours à de nouvelles tactiques pour arnaquer les utilisateurs de cryptomonnaies, notamment de nouveaux logiciels malveillants ciblant les extensions de navigateur pour les utilisateurs de cryptomonnaies, mais aussi des innovations en matière d’hameçonnage et d’ingénierie sociale. Les services de pontage de crypto-monnaies sont également visés. De janvier à février 2022, trois vols importants profitant des vulnérabilités de divers services de transition ont rapporté plus de 400 millions de dollars aux cybercriminels.2

Visa garantit la protection

Même si la cybercriminalité persiste, Visa a multiplié ses efforts afin de minimiser la fraude. La société a ainsi investi plus de 9 milliards de dollars dans la sécurité de son réseau au cours des cinq dernières années. Visa compte plus de mille spécialistes qui protègent son réseau des logiciels malveillants, des attaques de type « zero-day » et des menaces internes, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 et 365 jours par an. Visa dispose également de moyens basés sur l’IA et d’experts disponibles en permanence pour protéger son écosystème, afin de détecter et d’empêcher de manière proactive des milliards de dollars de tentatives de fraude. La surveillance en temps réel de Visa avec l’IA a ainsi bloqué un volume de paiements frauduleux de plus de 4,2 milliards de dollars au cours des 12 derniers mois, sans que de nombreux clients ne se rendent compte qu’ils couraient le risque d’une éventuelle transaction frauduleuse.

Pour en savoir plus sur le rapport Payment Fraud Disruption, rendez-vous sur Biannual Threats Report (visa.com). Pour découvrir l’intégralité du rapport Insights Moving Money in a Digital World du MIT Technology Review, rendez-vous sur Moving money in a digital world | MIT Technology Review.

À propos de Visa

Visa (NYSE: V) est le chef de file mondial des paiements numériques, assurant les transactions entre consommateurs, commerçants, institutions financières et entités gouvernementales dans plus de 200 pays et territoires. Notre mission est de connecter le monde par le biais du réseau de paiements le plus innovant, le plus pratique, le plus fiable et le plus sécurisé, permettant aux personnes, entreprises et économies de prospérer. Nous avons la conviction que les économies inclusives, où qu’elles soient, permettent à chacun de s’épanouir, et nous considérons l’accès comme le fondement de l’avenir du mouvement monétaire. Pour en savoir plus, rendez-vous sur Visa.com.

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1 Visa Global Risk Investigations, juin – novembre 2021

2 Visa Biannual Payment Fraud Disruption Report

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.