Press release

Pony.ai devient la première entreprise à tester des véhicules sans conducteur, sur des voies publiques aux États-Unis et en Chine

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Pony.ai, une entreprise de premier plan dans le domaine de la conduite autonome et basée dans la Silicon Valley a annoncé aujourd’hui qu’elle avait commencé à tester régulièrement et quotidiennement des véhicules entièrement sans conducteur, sur des voies publiques de Fremont et Milpitas, en Californie. Ces tests s’ajoutent à ceux lancés récemment avec des véhicules entièrement autonomes à Guangzhou, en Chine, faisant de la société la toute première à introduire des véhicules automatisés entièrement autonomes sur les voies publiques de trois villes situées dans deux marchés distincts où la mobilité est la plus dynamique au monde.

Ce communiqué de presse contient des éléments multimédias. Voir le communiqué complet ici : https://www.businesswire.com/news/home/20210615006258/fr/

Ce lancement réussi a été autorisé grâce au permis décerné par le California Department of Motor Vehicles, pour les véhicules sans conducteur, et annoncé précédemment, pour une flotte de six véhicules sans conducteur, rendant possible une couverture opérationnelle totale de 100 kilomètres carrés. Les innombrables itérations de la technologie furtive et les nombreuses évaluations de préparation des véhicules sans conducteur, exécutées par une équipe de premier ordre ont permis d’atteindre cette étape importante. Alors que les villes américaines rouvrent progressivement, Pony.ai a hâte de reprendre dès cet été son service Robotaxi auprès du grand public à Irvine, en Californie, et prévoit de déployer le service entièrement sans conducteur auprès du grand public en 2022.

« La généralisation des véhicules entièrement sans conducteur est essentielle pour atteindre une autonomie totale, et constitue le catalyseur indispensable qui permettra de réaliser notre vision ambitieuse », a déclaré James Peng, PDG et fondateur de Pony.ai. « Alors que nous continuons de croître et d’évoluer, nous avons étendu notre responsabilité envers la collectivité, en passant des services de livraison sans contact assurés tout au long de la pandémie l’an dernier en Californie, à la lutte contre la nouvelle épidémie de COVID-19 à Guangzhou. »

Pony.ai travaille avec la Ville de Fremont depuis plus d’un an pour lutter contre la COVID-19, en proposant notamment un service de livraison de plateaux-repas aux communautés vulnérables. De plus, la société s’est associée avec Yamibuy en Californie du Sud pour offrir aux résidents d’Irvine un service de livraison autonome et sans contact sur le dernier kilomètre.

« À Guangzhou, une flotte de 14 véhicules sans conducteur transporte jour et nuit du matériel médical, des fournitures de secours et du personnel médical de première ligne vers les communautés locales. Chez Pony.ai, nous avons toujours à cœur la responsabilité sociale, et nous plaçons la communauté au centre de tout ce que nous faisons », a poursuivi M. Peng.

À propos de Pony.ai

Pony.ai, Inc. (« Pony.ai ») poursuit sa vision ambitieuse en faveur de la mobilité autonome. Nous visons à offrir une mobilité sûre, durable et accessible au monde entier. Nous sommes convaincus que la technologie autonome peut rendre très rapidement nos routes beaucoup plus sûres pour les voyageurs. Fondée fin 2016, Pony.ai a été une pionnière des technologies et services de mobilité autonome aux États-Unis et en Chine, avec la mise en service sur les deux marchés, des pilotes Robotaxi destinés au grand public. L’entreprise est actuellement évaluée à 5,3 milliards USD, et parmi ses principaux investisseurs figurent Toyota, le Régime de retraite du personnel enseignant de l’Ontario (Ontario Teachers’ Pension Plan), Sequoia Capital China, et IDG Capital. Pony.ai a noué des partenariats avec des équipementiers de premier plan, dont Toyota, Hyundai, GAC Group, FAW Group, entre autres.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.