Press release

L’installation d’art numérique « ETERNAL », inspirée par la culture japonaise et le concept du temps, a été exposée à l’aéroport de Haneda

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Sponsorisé par Businesswire

L’Agence des affaires culturelles du gouvernement du Japon vient de lancer une nouvelle initiative intitulée « Initiative japonaise de diffusion des arts médiatiques culturels dans les aéroports et autres institutions » à l’intention des touristes entrants.

Ce communiqué de presse contient des éléments multimédias. Voir le communiqué complet ici : https://www.businesswire.com/news/home/20200212005466/fr/

Artwork 1 - intangible film (Photo: Business Wire)

Artwork 1 – intangible film (Photo: Business Wire)

Vue d’ensemble de l’exposition à l’aéroport de Haneda

Date & Heures d’ouverture : 11 h 00-20 h 00, du samedi 1er février au vendredi 7 février, deuxième année de l’ère Reiwa (2020) (Dernière admission à 19 h 30)

Lieu : Aéroport de Haneda (Ota-ku, Tokyo) Sky Hall 4F TIAT du terminal international

Contenu : Une exposition concept d’une semaine permettant de découvrir un monde capturé dans l’art numérique et représentant l’histoire éternelle de « l’espace et le temps de 1 000 secondes de silence »

Site Web officiel : https://jmadm.jp/en/

L’aéroport de Haneda a exposé « Japan Media Arts Distributed Museum ETERNAL »* dans le Sky Hall 4F TIAT du terminal international. L’installation a connecté l’inspiration de propriétés culturelles japonaises importantes, à non seulement des méthodes traditionnelles de création et de modernité mais aussi au facteur le plus essentiel dans la formation de la culture, le concept du temps, sous forme d’une exposition concept d’une semaine révélant un monde capturé dans l’art numérique représentant l’histoire éternelle de « l’espace et le temps de 1 000 secondes de silence » – l’âme tournée vers l’espoir.

Le concept du temps, qui s’écoule à travers l’aéroport alors que les personnes et la culture vont et viennent sans aucune pause, pourrait être appelé l’inspiration elle-même – l’inspiration de ressentir sa propre vision intérieure. Cette exposition a invité les visiteurs à entrer dans le monde « d’espace-temps appelé mille secondes de pureté et de tranquillité » par le biais de quatre œuvres d’art numériques.

*Pour référence : Harmonie (s’entendre avec les autres), respect (honorer les autres), pureté (purifier son esprit) et tranquillité (ne jamais être agité) sont les quatre éléments de base de la cérémonie du thé japonaise.

L’Agence des affaires culturelles accueille le « Japan Media Arts Distributed Museum », qui sera déployé séquentiellement dans 10 aéroports japonais dans le cadre d’un nouveau projet appelé « Initiative de diffusion des arts médiatiques culturels japonais dans les aéroports et autres institutions. »

Les artistes et créateurs participant à cette exposition ont capturé des ressources dans diverses cultures locales et offrent de nouvelles perspectives dans des lieux, tels que les aéroports, qui servent de passerelles entre les différentes régions. En présentant des œuvres d’arts médiatiques, nous invitons les visiteurs à explorer le véritable esprit de ces cultures tout au long de leurs voyages.

Résumé de l’exposition de l’aéroport de Haneda

Œuvre d’art 1 : « film intangible »

Thème : Sanctuaire

Motif : Sanctuaire Fushimi Inari-taisha / Mille torii (Kyoto)

Description

Mille torii (Senbon Torii) est situé dans l’enceinte du sanctuaire Fushimi Inari-taisha (Kyoto), un important site culturel japonais. Il contient d’innombrables portails torii alignés et est une structure et un espace artificiels servant de passage. Le portail torii sert de signe et de porte d’entrée dans le sanctuaire. Pourquoi les personnes franchissent-elles les portails ? Il s’agit d’une installation centrée sur les portails qui forment le Senbon Torii, et que le visiteur découvre en portant des écouteurs. À l’intérieur du film intangible qui définit l’intérieur et l’extérieur du portail, les structures formées par d’innombrables rayons laser flottent. Le spectateur peut saisir le comportement de la structure visuellement et auditivement à la fois de l’intérieur et de l’extérieur de la structure. Une structure intangible, tel qu’un esprit flottant dans l’espace, confronte calmement le spectateur et l’enveloppe.

Artistes :

FUJIMOTO Shohei

Basé à Tokyo. Diplômé du Collège doctoral d’arts et sciences des médias (IAMAS), il a rejoint le département de design de l’information de l’université des beaux-arts Tama et utilise la technologie pour créer des installations. Il explore la relation entre les choses vivantes et les objets inanimés par le biais de ces structures et de ces comportements et a exposé au niveau national et international.

KUNIMOTO Ray

né à New York et basé à Brooklyn. Diplômé de l’université Keio avec une licence d’esthétique et de science des arts. Il compose une programmation musicale et sonore pour des installations exposées dans des musées du monde entier, et crée des œuvres d’art en utilisant un système de haut-parleur original qu’il a développé et de nouvelles expériences musicales qui font également intervenir un design acoustique dans des espaces.

Œuvre d’art 2 : « Fragments (Version aéroport) »

Thème : Littérature médiévale japonaise, dissertations

Motif : Hojoki, sanctuaire Kawai-Jinja (Kyoto)*

Description

« La rivière ne s’arrête jamais de couler, et pourtant l’eau n’est jamais la même. De la mousse flotte sur les bassins, se disperse, se reforme, sans jamais s’attarder. Il en est de même pour l’homme et toutes ses demeures ici sur terre. »

Le calligraphe KINOSHITA Mariko a pris ce passage du texte Hojoki de Kamo no Chomei et l’a transformé en une œuvre d’art moderne, le cinématographe YAMAMOTO Synichi lui a donné un axe de temps, et le musicien Corey Fuller a ajouté des sons reconstruits à partir du texte de Hojoki. Le sanctuaire Kawai-Jinja, un lieu pour lequel Kamo no Chomei avait une grande affinité, a également été une source d’inspiration pour cette œuvre. Des concepts calligraphiques de ciel et de causalité de KINOSHITA Mariko à la tranquillité riche, ambiante et entrelacée de Corey Fuller et à la méta-perspective sur la contemplation d’un paysage de YAMAMOTO Synichi, cette collaboration met en exergue la vision du monde de chaque artiste recoupant Hojoki. Le thème est l’universalité dans une vision en perpétuel changement.

*Pour référence : Kawai-Jinja est un sanctuaire auxiliaire du sanctuaire Shimogamo-Jinjya (Kyoto), un site patrimonial mondial.

Artistes :

YAMAMOTO Synichi

artiste en arts médiatiques, cinématographe et directeur créatif exécutif chez Omnibus Japan. Engagé dans de nombreuses animations graphiques utilisant un équipement numérique, des génériques de films, des installations, et bien plus, il produit de nombreux logos animés et visuels de marque d’entreprise mais, en tant qu’artiste, il réalise également des projections spatiales en dehors des plates-formes vidéo existantes sur les thèmes du temps, de l’espace et de la visualisation des données scientifiques, et de la philosophie. Il conçoit des axes de temps en tant qu’extension de design constructiviste mais utilise également des méthodes de production vidéo pour manipuler des résultats d’ordinateur de bureau accessoires, se lançant dans l’art vidéo, la vidéo expérimentale, l’art médiatique, la musique club, l’electronica, l’ambient, les programmes télévisés, les messages publicitaires, la visualisation scientifique, les médias immersifs et génératifs. « Noesis », son œuvre d’art « pleine voûte », qui a fait ses débuts à MUTEK.JP au Musée national des sciences émergentes et de l’innovation, a également été exposée au Canada, au Mexique, en Belgique, en Arabie saoudite et ailleurs.

KINOSHITA Mariko

Calligraphe et maître de conférence à temps partiel à la faculté des sciences humaines et de l’environnement de l’université de Hyogo. Poursuivant cette ancienne culture traditionnelle extrême-orientale, elle est spécialisée dans les caractères chinois (divisés en écriture sigillaire, cléricale, cursive, semi-cursive et imprimée) mais travaille aussi avec un style harmonisé de caractères chinois et japonais utilisant sa sensibilité féminine. Son lettrage de titre inclut la 64e exposition Shosoin (2012), le film « Ask Rikyu » (2013) et « Nippon Premium » de NHK (2015). Elle a également dessiné en live devant une audience de 50 000 personnes à une ouverture de saison de ligue majeure et, plus récemment, des installations de calligraphie. Elle coordonne divers projets de culture japonaise traditionnelle et compose des dissertations. Au cours des six premiers mois de 2020, elle fera un autre dessin live à l’occasion du 1 300e anniversaire des chroniques de Nihon Shoki et le lettrage pour un projet de saké réalisé par un célèbre fabricant de spiritueux occidental (qui sera principalement exposé à l’étranger).

Corey Fuller

Né aux États-Unis, élevé au Japon. Actuellement basé à Tokyo. Musicien, concepteur sonore, ingénieur, cinématographe et photographe. Depuis la sortie de son premier album solo, « Seas Between » (« Dragon’s Eye » aux États-Unis), en 2009, il a lancé deux albums sous son nom, ILLUHA, et OHIO par le biais de 12k, un label de longue date de New York. En tournée en Europe, en Amérique du Nord, au Japon et dans d’autres parties du monde, il a collaboré et lancé des œuvres avec des artistes, tels que SAKAMOTO Ryuichi, Taylor Deupree, et Stephan Mathieu.

En février 2019 il a sorti un nouvel album solo, « Break », par le biais de 12k. Corey Fuller, qui est également le descendant de Buckminster Fuller, a collaboré dans une gamme également large de disciplines et créé des œuvres d’art publiques et des pièces d’ambiance (musique spatiale) en plus de ses albums. Il continue d’étendre son cadre d’activité inclassable, tel que « nature et technologie » et « silence dans la ville ».

Œuvre d’art 3 : « Tranquillité »

Thème : Salon de thé d’art zen, zazen, méditatif

Motif : Sous-temple Ryosokuin de Kenjinji (Kyoto)

Description

Cette pièce de thème Zen, rendue possible grâce à la coopération d’ITO Toryo, prêtre principal adjoint au sous-temple Ryosokuin de Kenjinji à Kyoto, dépeint une partie de la vision Zen du monde à l’aide de données photogrammétriques tridimensionnelles, d’un pointillisme minimaliste et d’un paysage sonore ondulant. L’imagerie générée est une interaction d’environnement et de vidéo reflétant les informations environnementales de l’espace d’exposition en temps réel de sorte que, tout comme le bruissement des feuilles dans le jardin du sanctuaire, il existe une synchronicité entre le paysage virtuel et les environs du spectateur. Qui plus est, le paysage sonore qui constitue l’espace ondule vers la gauche et la droite, à haute et basse fréquence, avec des connotations et des espaces qui produisent de nouveaux sons. Cette expression numérique immersive du Zen d’ITO Toryo, que l’on ne peut pas entendre, mais seulement découvrir dans le silence, imprègne néanmoins le spectateur.

Artistes :

THINK AND SENSE

Dans une société qui continue de se diversifier, cette entreprise créative technologique utilise la technologie comme base pour des approches multidimensionnelles envers la construction de cadres et le développement de solutions, et ne recule pas devant l’implémentation sociale.

OHNO Tetsuji / Intercity-Express

Intercity-Express est un projet audiovisuel par l’artiste OHNO Tetsuji, qui est basé à Tokyo. OHNO a commencé à travailler en tant que DJ vers le milieu des années 90 et avait déjà produit ses propres œuvres au tournant du millénaire. Outre ses spectacles audiovisuels, tels que « Triggering » (2014), il travaille comme compositeur de musique et réalisateur de messages publicitaires. En tant que musicien, il a incorporé de nombreux différents styles et genres allant de « house to techno » au bruit et à l’electronica, synchronisés avec un design génératif et des visuels de couleur. Le son propre à Intercity-Express est une synesthésie de toutes ces différentes influences. Parmi ses expositions et représentations récentes, citons MUTEK Montréal, MUTEK Mexico, MUTEK Barcelone, MUTEK.JP, le Festival Scopitone en France, le Festival Sunscape à Malte, FILE au Brésil, LPM en Italie et aux Pays-Bas, un évènement de rue médiatique HPL en Russie, et la Shinjuku Creator’s Fest à Tokyo.

Œuvre d’art 4 : « Moment in composition »

Thème : Tradition, emblème familial, cercle, beauté de la nature

Motif : Nihonbashi (Chuo-ku, Tokyo), beauté équilibrée d’un emblème de girafe circulaire, formes naturelles

Description

Cette œuvre d’art vidéo est une application numérique par l’artiste en arts médiatiques SEGA Seiichi de la technique de création d’emblèmes de la période Edo consistant à superposer des cercles parfaits par les artistes HATOBA Shoryu et HATOBA Yohji, inspirée par une œuvre* d’art dépeignant la statue d’une girafe ailée (une bête divine), un symbole de chance et de prospérité pour le district Nihonbashi de Tokyo, et liée aux bruits ambiants de l’artiste sonore Kyoka au moment exact où la beauté émerge. Les sons de Kyoka se propage de plus en plus loin vers l’extérieur comme des ondulations à partir de divers angles sur la surface d’un compas, l’image stéréo des ondulations et des cercles tridimensionnels flottant à travers l’espace. Cette œuvre d’art illustre les années de recherche de Kyoka sur l’approche basée phase envers la création d’images stéréo 3D. Elle communique la beauté et l’harmonie dans une combinaison simple mais puissante de cercles, grands et petits, et, lorsqu’elle est recouverte de vagues et de terrains symbolisant le caractère aléatoire, les mathématiques dissimulées dans les motifs naturels.

*Pour référence : L’emblème de la girafe dépeignant la statue de girafe de Nihonbashi, une propriété culturelle importante, a été créé dans le cadre des « NIHONBASHI MEGURU FES » qui ont eu lieu à Nihonbashi, considéré comme un point d’origine de culture. La girafe ailée représente le réseau routier du japon qui commence à Nihonbashi et « survole » tout le pays.

Artistes :

SEGA Seiichi (Visuel)

Technologue créatif et artiste en arts médiatiques chez Omnibus Japan. Il a créé de nombreuses œuvres d’art vidéo qui développent et implémentent une infographie haut de gamme incorporant des simulations génératives et physiques en tant qu’approche non photoréaliste abstraite envers l’expression. Au cours des quelques dernières années, il a produit des génériques TV et des images de marque et lancé des œuvres d’art au niveau national en tant qu’artiste et organisé des représentations en direct. Avec une technique qui fusionne des concepts et des algorithmes, il produit une vidéo utilisant une variété de dispositifs, tels que des présentations stéréoscopiques, sphériques et cubiques. En 2017, il a lancé une œuvre d’art publique à la Creator’s Festa de Shinjuku, intitulée « immenses veines » dans laquelle un globe se transformait continuellement sur le plan conceptuel. Il a également présenté une installation spatiale, « Extra Dimensions », sur le thème d’évènements ou de phénomènes existant au même point sur l’axe de temps. À MUTEK.JP 2018, il a participé à « Noesis », l’œuvre d’art stéréoscopique « pleine voûte » qui visualisait des concepts abstraits ou scientifiques.

Kyoka (Audio)

Première artiste femme solo sous le label raster-noton, l’un des plus grands labels de musique expérimentale et électronique au monde. Elle est actuellement sous le label Raster-Media, une entreprise multimédia basée à Chemnitz et Berlin. Active à Berlin et à Tokyo, elle enchante le monde avec son expression musicale unique en son genre, en utilisant des fréquences pour transmettre des sensations inattendues, multidimensionnelles, couvrant l’art, la science, la physique et tous les autres genres aux personnes de toutes les générations. Depuis 2007, elle est basée à Los Angeles où elle compose et fait des spectacles live improvisés. De 2008 à 2010, elle a sorti un EP chaque année dans sa série « ufunfunfufu » sous le label allemand Onpa))))). Depuis 2012, elle a sorti « iSH », « IS (Issuperpowered) », et « SH », chacun à deux années d’intervalle. Ses spectacles live lui ont valu de nombreux éloges au Japon et à l’étranger, et, en 2016, son spectacle à Berghain, appelé le meilleur club du monde, a ravi le public et a été considéré comme une des meilleures performances. De 2017 à 2018, elle a été invitée par un gouvernement provincial espagnol et par l’UE à résider dans un centre de technologie artistique et s’est consacrée à la création d’installations. Elle a également travaillé sur des messages publicitaires pour Apple (global), ABC-Mart, ORBIS, entre autres.

HATOBA Shoryu (emblème familial)

Artiste d’emblème familial Kyogen de troisième génération. Né en 1956. Tout en travaillant en tant que peintre à la main d’emblèmes sur kimono, il s’est intéressé de plus en plus à transmettre les techniques de fabrication d’emblèmes familiaux dans une nouvelle forme d’expression, et il a commencé à produire des emblèmes artistiques à l’âge de 50 ans. Sa première incursion dans le monde numérique a été « MON-MANDALA », étendant ainsi sa portée du design à l’art. Aujourd’hui l’un des rares designers artisans à combiner la technique d’emblème de la période Edo, qui consiste à dessiner des cercles parfaits et des lignes droites avec du travail numérique, ses activités sont diverses. Il est apparu et a travaillé dans le programme Design-AH « Mon » de NHK Educational TV.

HATOBA Yohji (emblème familial)

Artiste spécialisé dans les emblèmes, né en 1983. Il a grandi entouré des emblèmes créés par son père Shoryu. En 2010, l’établissement d’un nouvel atelier l’a aiguillé vers le potentiel du design et il a appris seul Adobe Illustrator et Photoshop. Le fait d’avoir été élevé à proximité constante d’emblèmes familiaux, un trésor de design, et d’avoir étudié la calligraphie dès l’âge de 8 ans, cultivant un sens de l’équilibre, forme la base de son travail de design actuel. Après avoir été formé dans la création d’emblèmes par son père, il transmet aujourd’hui son attrait au Japon et au monde.

Production créative : MUTEK.JP

MUTEK, qui a fait ses débuts à Montréal, au Canada, en 2000, est une organisation d’arts et de culture renommée à l’international qui développe la créativité numérique, la musique électronique, et l’art audiovisuel, soutient la découverte et la formation de personnes de talent, et cherche à disséminer les arts et la culture. Basé sur le concept d’un soutien permanent de la création de nouvelles idées et de nouveaux contenus, MUTEK a mis en place une plateforme créative qui fournit un lieu permettant de transmettre une expression expérimentale libre au reste du monde. Depuis, l’organisation a pris de l’ampleur et organisé des festivals internationaux majeurs dans sept pays : Montréal, Mexico, Barcelone, Buenos Aires, San Francisco, Dubaï, et Tokyo. MUTEK.JP a lancé la MUTEK Japan Association en 2016 en tant que premier pays en Asie, dans le but de promouvoir le développement de la créativité numérique et créer un lieu permettant aux participants et aux artistes d’interagir et de créer ensemble, non seulement au Japon mais aussi ailleurs dans le monde. En outre, en soutenant la découverte et la formation de personnes de talent, en formant des liens avec des institutions artistiques et culturelles, et en tirant parti du réseau mondial de MUTEK, ils partagent les arts de Tokyo avec le reste du monde.

Détails concernant l’exposition à l’aéroport de Haneda

Date & Heures d’ouverture : 11 h 00-20 h 00, du samedi 1er février au vendredi 7 février, deuxième année de l’ère Reiwa (2020) (Dernière admission à 19 h 30)

Lieu : Aéroport de Haneda (Ota-ku, Tokyo), Sky Hall 4F TIAT du terminal international

Admission : gratuite

Artistes libres : FUJIMOTO Shohei, KUNIMOTO Ray, YAMAMOTO Synichi, KINOSHITA Mariko, Corey Fuller, THINK AND SENSE, OHNO Tetsuji / Intercity-Express, SEGA Seiichi, Kyoka, HATOBA Shoryu, HATOBA Yohji

Production créatrice : MUTEK.JP

Promoteur : Tokyo International Air Terminal Corporation

Organisateur : « Initiative japonaise de diffusion des arts médiatiques culturels dans les aéroports et autres institutions pour la première année de l’ère Reiwa » de l’Agence des affaires culturelles du gouvernement du Japon

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.