Press release

L’acquisition d’Avaloq par NEC a été finalisée avec succès

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Avaloq, leader mondial dans le domaine des solutions bancaires numériques et des technologies de gestion du patrimoine, établi en Suisse, et la société basée au Japon, NEC Corporation ont annoncé aujourd’hui la clôture de l’acquisition d’Avaloq par NEC. Chacune des deux sociétés étant leader du marché dans leur domaine respectif, la combinaison de leur vision commune, de leurs atouts technologiques et de leur présence mondiale accélérera la croissance à long terme, l’expansion mondiale et la stratégie de création de valeur des deux entreprises.

Après avoir été annoncée pour la première fois en octobre 2020, et à l’issue de l’obtention des autorisations réglementaires nécessaires, l’acquisition a été finalisée le 22 décembre 2020. NEC détient désormais 100 % des actions d’Avaloq, notamment les 45 % précédemment détenus par la société de capital-investissement Warburg Pincus, ainsi que les actions restantes détenues par Francisco Fernandez, fondateur d’Avaloq, et les employés.

Fondée en 1985, Avaloq fournit des solutions cloud performantes aux banques et gestionnaires de fortune du monde entier, grâce à des processus opérationnels en tant que service (Business Process as a Service, BPaaS), à des logiciels en tant que service (Software as a Service, SaaS), ainsi qu’à des solutions sur site. La vision d’Avaloq concernant l’avenir de la gestion du patrimoine consiste à maintenir le contact humain entre un investisseur et son conseiller, tout en renforçant la relation grâce aux technologies, afin d’assurer une fidélisation et une satisfaction accrues. La démocratisation de la gestion du patrimoine permettra à un plus grand nombre de particuliers d’accéder aux stratégies d’investissement et de conseils, plus variées et de qualité supérieure, qui étaient autrefois destinées aux individus fortunés et très fortunés, uniquement.

Forte de plus de 120 ans de savoir-faire, NEC est un acteur majeur dans l’intégration des technologies de l’information et des technologies réseau, dont bénéficient les entreprises et les particuliers à travers le monde. Cotée à la Bourse de Tokyo, NEC est une organisation véritablement mondiale qui dispose de bureaux dans plus de 50 pays.

Masakazu Yamashina, vice-président exécutif de NEC et nouveau président d’Avaloq, a déclaré : « Grâce à ses 35 années d’expérience et sa spécialisation dans les solutions bancaires numériques, les logiciels bancaires clés et les technologies de gestion du patrimoine, Avaloq est particulièrement qualifiée pour propulser NEC dans le domaine de la finance numérique qui, associé à celui de l’administration numérique, constitue l’un des piliers pour bâtir la croissance mondiale de NEC. Notre proposition de valeur conjointe s’appuiera sur les produits de finance numérique fiables d’Avaloq, et sur la confiance que la société a établie auprès de ses clients, le tout associé aux technologies de pointe, au réseau commercial mondial et aux connaissances dans le domaine de l’administration numérique, de NEC. »

Jurg Hunziker, PDG d’Avaloq, a souligné pour sa part : « Avaloq entrera dans une nouvelle ère aux côtés de NEC. Cette transaction suscite un vif intérêt, et nous sommes persuadés que NEC est le partenaire idéal pour notre entreprise. Nos solutions évolueront au mieux en tirant parti de l’expertise éprouvée de NEC dans le domaine des technologies liées à l’identité numérique, à l’intelligence artificielle, à la vérification, à la blockchain, à la cybersécurité, et à la biométrique. En outre, nos capacités d’innovation seront renforcées grâce au solide engagement de NEC en faveur de la recherche et du développement, comme en témoignent les ressources consacrées par la société dans cette direction, notamment via ses installations spécialisées à Heidelberg, en Allemagne. Je suis très impatient d’entamer cette nouvelle étape de notre aventure de croissance passionnante aux côtés de NEC. »

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.