Press release

GA-ASI s’associe avec la NASA pour faire la démonstration d’une mission commerciale avec un large système d’aéronef sans pilote en Californie du Sud

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General Atomics Aeronautical Systems, Inc. (GA-ASI) a signé un accord de coopération avec la NASA pour effectuer un vol de démonstration dans le cadre du projet de l’agence d’intégrer des systèmes d’aéronef sans pilote (Unmanned Aircraft Systems, UAS) dans le système d’espace aérien national (National Airspace System, NAS). L’objectif de la démonstration, prévue pour 2020, vise à répondre aux défis clés qui empêchent de déployer à des fins commerciales des opérations UAS de routine dans le NAS actuel, y compris le développement, l’intégration et la certification des UAS et des technologies nécessaires pour une exploitation sûre avec d’autres trafics aériens avec et sans pilote dans le NAS.

Ce communiqué de presse contient des éléments multimédias. Voir le communiqué complet ici : https://www.businesswire.com/news/home/20191007005863/fr/

“NASA and GA-ASI have a shared goal of seeing UAS fly safely and unencumbered in the NAS.”- Linden Blue, CEO, GA-ASI. (Photo: Business Wire)

“NASA and GA-ASI have a shared goal of seeing UAS fly safely and unencumbered in the NAS.”- Linden Blue, CEO, GA-ASI. (Photo: Business Wire)

L’équipe a achevé l’examen critique de conception le 18 septembre. Les technologies clés génériques qui seront démontrées incluent les systèmes de liaison de données de type Détection et Évitement (Detect and Avoid, DAA) et Commande et Contrôle (Command and Control, C2), systèmes pourtant alignés sur les normes RTCA récemment publiées.

Dans le cadre de la démonstration, l’appareil piloté à distance (Remotely Piloted Aircraft, RPA) SkyGuardian MQ-9B de GA-ASI exposera sa capacité à fournir, à l’aide de capteurs embarqués et de « capteurs virtuels » supplémentaires, une large variété de services commerciaux et publics qu’ils pourraient assurer à l’avenir. Ces services comprennent les inspections de centaines de kilomètres de rails, de pipelines énergétiques et d’infrastructures de canaux, les études de surveillance agricole et topologiques, ainsi que la surveillance des incendies et des inondations, et la surveillance maritime.

La Ville de San Diego soutient les objectifs de vol de GA-ASI et de la NASA dans le cadre des Programmes pilotes d’intégration (Integration Pilot Programs, IPP) des UAS. L’élément clé du vol consistera à mener des études d’infrastructures publiques sur la ville. L’équipe IPP des UAS de la ville mettra en relation GA-ASI avec des clients locaux de l’enquête et les opportunités que cette partie de la démonstration offrira.

« La NASA et GA-ASI partagent l’objectif de voir des UAS voler en toute sécurité et sans contraintes dans le NAS », a déclaré Linden Blue, PDG de GA-ASI. « GA-ASI collabore avec la NASA depuis plus de cinq ans sur cet objectif et nous sommes impatients de participer à leur prochain lot de démonstrations. »

Les tests de vol sur l’Ikhana de la NASA, un UAS Predator® B/MQ-9 fabriqué par GA-ASI, ont servi de base pour la vérification et la validation des normes techniques RTCA DO-365 et DO-366 pour le DAA, qui ont été publiées par RTCA en mai 2017. C’est ce qui a permis à GA-ASI de se positionner à la pointe du secteur dans la production d’UAS de moyenne altitude et grande autonomie (Medium-altitude, Long-endurance, MALE) qui sont approuvés pour voler dans le NAS.

En juin 2018, le système DAA de GA-ASI a été la technologie clé qui a permis à la NASA de faire voler l’Ikhana pendant 2 heures et demie à travers le NAS. Après son décollage en Californie du Sud, l’appareil a traversé plusieurs classes d’espace aérien à diverses altitudes et assuré des communications avec plusieurs centres de contrôle du trafic aérien. Le système DAA installé sur l’Ikhana a permis à l’UAS de répondre à l’intention de l’exigence de la clause 14 CFR 91.113(b) de la FAA de « voir et d’éviter » les autres appareils. Un large UAS a pu dès lors et pour la première fois, voler sans avion suiveur dans certaines classes d’espace aérien.

D’après la NASA, l’agence a lancé le projet d’intégration et d’opérationnalisation des systèmes (Systems Integration and Operationalization, SIO) qui rendra possibles plusieurs démonstrations de vol axées sur différents types d’UAS et sur leurs missions de vol. Les démonstrations de GA-ASI mèneront des missions commerciales au-delà de 10 000 pieds. Le SIO de la NASA inclut deux autres partenariats faisant la démonstration d’UAS de petite et moyenne tailles à des altitudes plus basses.

Les partenaires de technologie de GA-ASI pour la démonstration de SIO incluent Honeywell (fournit le TCAS II pour le système II), et Collins Aerospace pour les radios de liaison des données des Communications de commande et sans charge utile (Command and Non-Payload Communications, CNPC), qui font partie du C2.

À propos de GA-ASI

General Atomics Aeronautical Systems, Inc. (GA-ASI), une société affiliée de General Atomics, est le principal concepteur et fabricant de systèmes fiables et éprouvés pour aéronefs télépilotés (ATP), radars, systèmes électro-optiques et autres systèmes connexes liés à la mission, notamment la série des ATP Predator® et le radar multimode Lynx®. Avec plus de cinq millions d’heures de vol, GA-ASI fournit aux aéronefs à longue endurance et aptes à la mission, les systèmes de liaison de données et de capteurs intégrés nécessaires pour assurer un vol constant permettant une connaissance situationnelle et des interventions rapides. La société produit par ailleurs toute une gamme de stations de contrôle au sol et commandes de capteurs/logiciels d’analyse d’image ; elle fournit en outre des services de formation et de soutien aux pilotes, et développe des antennes méta-matérielles. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.ga-asi.com.

Predator et Lynx sont des marques déposées de General Atomics Aeronautical Systems, Inc.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.