Press release

Ebury réalise une acquisition historique

0
Sponsorisé par Businesswire

Ebury, l’une des plus importantes fintechs d’Europe, est ravie d’annoncer sa première acquisition : Frontierpay, un fournisseur international de solutions de paiement des salaires disposant de bureaux au Royaume-Uni et à Singapour.

Stratégie d’Ebury

En pleine croissance, la société Ebury a fait l’acquisition de l’activité paiement de salaires dans le cadre de son programme étendu d’investissement dans les technologies.

L’acquisition entre dans le cadre de la stratégie globale d’Ebury visant à investir dans des technologies qui contribueront à accélérer l’automatisation des processus de paiements internationaux, en ciblant en particulier ceux dans les fonctions financières et de trésorerie des entreprises du marché intermédiaire.

En plus des paiements, Ebury investit dans des technologies qui améliorent le processus commercial mondial pour les PME, notamment concernant le marché des changes et la couverture de change, la gestion de trésorerie internationale et le financement commercial. Ebury a annoncé cette année des partenariats bancaires d’importance majeure avec SACE Simest et Unicaja Banco.

Acquisition de Frontierpay

Frontierpay, dont la création remonte à 2009, permet des paiements des salaires fiables et économiques dans 180 pays. L’activité salaires renforcera la plateforme d’Ebury pour le commercial mondial et les transactions bancaires, et accélérera sa croissance.

Du fait du bureau à Singapour, l’acquisition étend également la couverture géographique d’Ebury dans la région Asie-Pacifique, conjointement avec son nouveau bureau en Australie.

[La région Asie-Pacifique, où environ 10 000 nouvelles PME sont lancées chaque année, est une cible importante pour Ebury, qui dessert actuellement environ 40 000 petites et moyennes entreprises et institutions à travers le monde.]

Croissance d’Ebury

La transaction fait suite à une période d’expansion géographique pour Ebury, qui dispose à ce jour de 25 bureaux à travers le monde, répartis dans 20 pays.

Juan Lobato, cofondateur et PDG d’Ebury, a déclaré : « Je suis ravi d’annoncer la première acquisition d’Ebury. Cette transaction intervient pendant une période de changement pour notre entreprise, alors que nous nous associons avec de plus en plus d’institutions financières et investissons massivement dans les technologies qui changeront la manière dont les PME commercent et effectuent des paiements internationaux. »

« Connaissant bien Frontierpay, nous sommes convaincus du produit, des avantages pour les clients et au niveau géographique et, le plus important, de la compatibilité culturelle. L’ajout des fondateurs de Frontierpay à notre équipe complétera notre esprit d’entreprise et apportera une expérience précieuse à notre équipe. »

« L’ajout continu de produits à la plateforme centrale d’Ebury démontre que, à mesure que la plateforme évolue, des opportunités de revenus se développent grâce aux nouvelles gammes de services et à l’expansion géographique. Le développement d’une stratégie d’acquisitions accélérera notre croissance car nous pouvons toucher davantage de clients avec plus de services que jamais auparavant. Nous nous réjouissons à l’idée de vivre une nouvelle période passionnante au cours des prochaines années. »

Owain Walters, PDG de Frontierpay, a affirmé : « Il s’agit d’un jalon important pour notre entreprise et nous sommes enchantés de rejoindre une société partageant nos valeurs et dont la culture est très proche de la nôtre. L’accès à la plateforme et aux services d’Ebury permettra à notre taux de croissance déjà élevé de s’accélérer et donnera à nos clients existants les avantages de ses services uniques de transactions transfrontières et de sa couverture géographique plus large, et fournira une importante équipe technique dédiée pour stimuler notre développement de produits. »

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.