Press release

CSC annonce des découvertes en matière de cybersécurité pour l’industrie des médias

0
Sponsorisé par Businesswire

La sécurisation de l’infrastructure numérique d’une entreprise est devenue une préoccupation majeure pour les entreprises du monde entier. Avec des sociétés de sécurité de premier plan et d’autres organisations alertant les entreprises et le public au récent détournement généralisé de noms de domaine (DNS), de plus en plus de marques commencent à prendre des mesures.

CSC publie des rapports sur la cybersécurité depuis 2017, rassemblant les informations les plus importantes sur les risques de sécurité, et en particulier, les risques pour les marques qui ne sont pas atténués par un pare-feu traditionnel.

La recherche récente menée par CSC se concentre sur l’industrie des médias, révélant que 78% des marques mondiales de médias utilisent un registraire de domaine d’entreprise, alors que seulement 37% d’entre elles ont un verrouillage de registraire pour protéger leur DNS contre le piratage. Des piratages de domaines récents, des changements non autorisés et la suppression de domaines vitaux ont montré qu’une gestion efficace des noms de domaine et des DNS doit devenir un élément essentiel pour améliorer la sécurité de toute entreprise ayant une présence en ligne.

Ce qui est plus inquiétant, c’est que, sur toutes les marques de médias mondiales analysées, 55% utilisent le DNS d’entreprise, mais seulement 3% ont l’extension de sécurité du système de noms de domaine (DNSSEC) activée. Le manque de déploiement de DNSSEC conduit à des vulnérabilités dans le DNS par le biais de l’usurpation de DNS ou de l’empoisonnement de cache, qui peut inclure un usurpateur piratant toute étape du processus de recherche DNS, entraînant la prise en charge par des pirates de la navigation Internet ou redirigeant des utilisateurs sur des sites web trompeurs.

« Les attaques de sécurité, en particulier celles qui se produisent à l’extérieur du pare-feu, ne sont pas nouvelles, mais elles deviennent de plus en plus sophistiquées et vicieuses de jour en jour », explique Ken Linscott, directeur de produit chez CSC. « Nous conseillons fortement à nos clients d’utiliser les outils et les recommandations disponibles pour sécuriser leur infrastructure numérique. Il y a des implémentations très simples et rentables qui protégeront les marques aussi bien que les clients. »

Le rapport inclut également les tendances en matière de sécurité des domaines parmi les marques mondiales de médias, les risques d’hameçonnage et de fraude par courriel, ainsi que des recommandations sur la façon de sécuriser l’infrastructure numérique.

À propos de CSC

CSC aide les entreprises à prospérer en ligne. Nous aidons à gérer, promouvoir et sécuriser efficacement les actifs de marque de nos clients contre les menaces du monde en ligne. De grandes entreprises du monde entier nous choisissent comme partenaire de confiance, dont plus de 65% des clients de l’Interbrand® 100 Best Global Brands. Tirant parti d’une technologie de pointe, Digital Brand Services offre des résultats exceptionnels grâce à sa structure unique de gestion des comptes. Grâce à notre équipe experte et dévouée, vous aurez un point de contact quotidien pour vous assurer que votre marque a la force dont elle a besoin pour réussir au 21e siècle. Nous vous aidons à consolider et sécuriser, surveiller et appliquer, puis optimiser et promouvoir vos marques pour maximiser votre présence numérique, sécuriser votre propriété intellectuelle numérique et réduire vos coûts. CSC est le premier fournisseur mondial de services de marques numériques aux entreprises du monde entier. CSC, dont le siège social est situé à Wilmington, au Delaware, exploite également des bureaux aux États-Unis, au Canada, en Europe et dans la région Asie-Pacifique. Pour en savoir plus, rendez-vous sur cscdigitalbrand.services.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.