Sommet de Copenhague : « Comment allier performances économiques et développement durable ? »

Par Xavier Haulet, Directeur Infrastructures de Venedim

Ces technologies existent depuis longtemps mais sont devenues très sensibles depuis une quinzaine d’années avec l’apparition de solutions logiciels et de constructeurs spécifiques (EMC, Symantec, …)

Il est vrai que dans un premier temps ces solutions étaient davantage utilisées pour maintenir à la fois la sécurité et la confidentialité des données, pour centraliser et optimiser la gestion des différentes applications.

Il apparaît désormais que la virtualisation et le stockage vont permettre aux entreprises :
– De réduire le nombre et les achats de serveurs,
– De réduire la consommation d’énergie
– De limiter les constructions « sauvages » à la périphérie des villes, dans les campagnes afin de stocker tous ces serveurs.

Tous les secteurs d’activité sont concernés par la green IT, et davantage encore les secteurs qui traitent des volumes conséquents de données (client, facturation,…) tels les opérateurs télécoms (qui en plus sont obligés d’avoir des archives légales de 5 ans pour chaque client), des fournisseurs d’énergie.

La réduction du nombre de machines peut aller jusqu’à 60% suivant la puissance des nouveaux serveurs mis en place ainsi que les logiciels de virtualisation utilisés. De grandes entreprises du secteur public utilisent dès à présent ces techniques pour rationnaliser leur parc de serveurs afin de libérer des M² de locaux qu’ils peuvent ainsi revendre.

La virtualisation et le stockage demandent bien entendu des compétences pointues sur lesquelles Venedim a investi massivement en temps et en formation. La green IT est d’actualité et les entreprises ne peuvent plus ignorer ces techniques qui sont aujourd’hui le garant d’une stratégie de performance et de développement durable.