Entré chez Palm en 2009, Jon Rubinstein avait alors pris les rênes d’une société « en souffrance », qu’il avait souhaité remettre sur les rails avec des terminaux de nouvelle génération… Et avec WebOS.
Mais lorsque Palm est passé sous le gonfalon de HP, personne alors ne s’attendait à ce que WebOS soit étouffé par la soudaine – et rapide – montée d’Android. Depuis la firme a tout tenté, comme adapter cette offre à des produits embarqués et des périphériques d’impression. Un échec, sur fond de changement de management mondial qui s’est – in fine – soldé par une grande braderie autour des terminaux WebOS.
Récemment, HP avait annoncé l’ouverture du code source de WebOS et sa mise à disposition de la communauté Open Source. « Un choix risqué », avait récemment commenté le PDG de HP en France, Gerald Karsenti, mais un choix gagnant pour lui.
Notre confrère de Silicon.fr voit plutôt dans ce choix la décision « en creux » d’un abandon pur et simple de l’OS et conseille au N°1 de l’informatique mondiale de céder la gouvernance de WebOS à une fondation indépendante, afin que la communauté puisse remettre la main sur ce projet, s’il n’est pas déjà trop tard.
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