Que se passera-t-il (à partir de fin février) si le système identifie une copie pirate ? A la mode Hadopi, l’heure sera d’abord à la pédagogie et à la force de persuasion : l'utilisateur verra apparaître de façon récurrente des messages l’avertissant qu’il a été dupé par son intégrateur ou fabricant, mais plus sérieusement qu’il a été repéré pour avoir installé une version pirate de Windows 7 et qu’il n’a nullement l’autorisation d’utiliser celui-ci. Des messages volontairement entêtants, accompagné d’un marquage spécifique venant remplacer le fond d'écran.
Une démarche assez semblable à celle utilisée avec Windows XP qui ne sera pas sans lever quelques protestations et qui lui avait même valu quelques ennuis judicaires, une class action ayant même vu le jour de l’autre côté de l’Océan Atlantique considérant que WGA (Windows Genuine Advantage) pouvait être considéré comme un spyware et de ce fait être légalement supprimé de son ordinateur. Sera-ce le cas encore cette fois ? Car Microsoft relative déjà l’impact de WAT en expliquant que la mise à jour restera optionnelle et que le fait de refuser son installation n’aura pas de conséquence néfaste sur les mises à jour de sécurité. A suivre…
Le gouvernement français vient de décider, au grand dam des amoureux de la nature, de renouer avec la vieille et aristocratique tradition des « Chasses Présidentielles » à Chambord ? Microsoft lui arme son fusil contre les pirates et ceux qui profitent de leurs copies de Windows 7…
C’est via ses mises à jour mensuelles, dans une relative discrétion, que Microsoft a en effet lancé la riposte contre les pirates de tous poils qui, après en avoir fait de même avec Windows XP et Vista, ont jeté leur dévolu sur Windows 7. La firme de Redmond vient ainsi de sortir son outil baptisé « Windows Activation Technologies » (WAT). A la clé, la capacité pour l’éditeur de détecter l’activation de copies pirates de son dernier OS en date. Via « Windows Genuine Advantage », Microsoft annonce qu’il va pouvoir identifier pas moins de 70 outils d’activation de copies pirates.
Un utilisateur Azerty en vaut deux…
Que se passera-t-il (à partir de fin février) si le système identifie une copie pirate ? A la mode Hadopi, l’heure sera d’abord à la pédagogie et à la force de persuasion : l’utilisateur verra apparaître de façon récurrente des messages l’avertissant qu’il a été dupé par son intégrateur ou fabricant, mais plus sérieusement qu’il a été repéré pour avoir installé une version pirate de Windows 7 et qu’il n’a nullement l’autorisation d’utiliser celui-ci. Des messages volontairement entêtants, accompagné d’un marquage spécifique venant remplacer le fond d’écran.
Une démarche assez semblable à celle utilisée avec Windows XP qui ne sera pas sans lever quelques protestations et qui lui avait même valu quelques ennuis judicaires, une class action ayant même vu le jour de l’autre côté de l’Océan Atlantique considérant que WGA (Windows Genuine Advantage) pouvait être considéré comme un spyware et de ce fait être légalement supprimé de son ordinateur. Sera-ce le cas encore cette fois ? Car Microsoft relative déjà l’impact de WAT en expliquant que la mise à jour restera optionnelle et que le fait de refuser son installation n’aura pas de conséquence néfaste sur les mises à jour de sécurité. A suivre…
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