Club Cegid Partner 2012 : un évènement fédérateur pour le channel qui s’ouvre à l’international

Le 20 mars dernier, Cegid – éditeur de progiciels de gestion bien connu – a réuni dans un grand cinéma Lyonnais, aux abords de son siège, le ban et l’arrière-ban de son écosystème partenaires.

 SaaS et International, les deux vecteurs de croissance

A la suite de Patrick Bertrand, Pierre Dianteill va piloter et présenter la session plénière qui durera toute la matinée, les discours étant entrecoupés de temps en temps de clips vidéo et de sketchs très drôles joués sur scène par le couple de Toizémoi (http://toize.moi.free.fr/pages/accueil/accueil.html).

Après avoir donné des chiffres probants à l’assistance (dont un chiffre d’affaires de 264 M€ sur l’exercice en progression de 5,7%), Pierre Dianteill insiste sur l’importance prise par le SaaS chez Cegid et par l’impact de son succès sur cette croissance organique (+25% de ventes, + 53% de revenus récurrents, un facteur clé pour un éditeur comme Cegid). Et son credo est le suivant : « le SaaS va s’imposer, il faut juste trouver les bons modèles pour imposer ça dans l’indirect ».

Au-delà du SaaS, le Directeur Marketing et International de Cegid va insister sur l’importance de l’expansion internationale de l’éditeur. « Nous en sommes à la deuxième étape, et nous avons de jolis succès locaux (UK, Canada, Maroc, etc). » Cegid est présent à ce jour dans plus de 70 pays et propose des solutions dans pas moins de 25 langues.

Autre motif de satisfaction pour Cegid : la fidélité de la base de clients installée. « Notre taux de renouvellement est très élevé et le taux de satisfaction l’est aussi (88% de la base installée). Mais nous n’avons pas oublié de conquérir de nouveaux clients : 35 000 nouveaux clients en 2011 pour Cegid. »

Expliquant que le groupe a beaucoup changé depuis le début du siècle, qu’il a su se recentrer sur l’édition de logiciels, sur les services associés et le récurrent (50% de l’activité est en SaaS), Pierre Dianteill explique : « Nous croyons à l’approche multicanale, le client doit en toutes circonstances avoir le choix du canal qui lui convient le mieux. Et si aujourd’hui les ventes indirectes représente 14% de notre activité, on doit pouvoir largement progresser… »

5 axes stratégiques

Pierre Dianteill poursuit sur sa lancée en indiquant que Cegid compte développer son activité au long de 5 axes stratégiques constants, qui sont : être spécialiste des expertises ciblées, développer le SaaS, enrichir l’écosystème multicanal, chercher des sources de croissance externe et poursuivre le développement à l’international.

Se disant fier du travail accompli, il affirme que le groupe est solide économiquement, qu’il dispose notamment d’un fort niveau de CA récurrent et qu’il bénéficie d’une ligne de crédit assurée jusqu’en 2015, ce qui peut lui permettre – pourquoi ? – une ou plusieurs jolies opérations de croissance externe. « Notre cap est d’atteindre à court terme les 300 millions d’euros de chiffre d’affaires, grâce à notre stratégie en phase avec le marché, à notre capacité à profiter des rebonds économiques et à notre modèle efficace et stable. »

Les perspectives en chiffres du réseau de ventes indirectes Cegid

225 : C’est le nombre de partenaires au sein du réseau Cegid Partner.
25 : Le nombre de pays couverts
23% : la croissance annuelle de l’offre ventes indirectes sur la partie RH
850 : le nombre de nouveaux clients hors SaaS en 2011 traités sur le mode indirect
17% : croissance annuelle de l’offre Manufacturing
1465 : Le nombre de comptes TPE en SaaS ouverts au cours de l’année 2011 via le channel
30% : l’objectif indirect en 2012 en pourcentage des ventes de progiciels distribués

 

Les 5 enjeux pour Cegid au service des partenaires

–          Préserver leur trésorerie

–          Préserver leur niveau de marge

–          Développer les revenus récurrents

–          Réussir la croissance de part et d’autre

–          Organiser et spécialiser les ressources