Du multi-coeur à l'ouvrage
Si les processeurs de nouvelle génération (multi-cœurs) et les GPU sont taillés pour supporter les traitements parallèles, les applications telles qu'elles sont développées ne sont pas toujours en mesure de tirer parti de ces nouvelles architectures pour cause de complexité de programmation (et de génération vieillissantes des softs). L'ensemble des outils proposés par RapidMind (un ensemble de bibliothèques C++) permet d'optimiser le code des applications pour les puces multi-cœurs, et de répartir la charge intelligemment sur l'ensemble des cœurs. En outre, RapidMind propose également d'optimiser les données et des outils de diagnostic.
Si Intel proposait déjà des compilateurs sachant tirer parti des architectures multi-cœurs, l'arrivée des cerveaux de RapidMind va renforcer son expertise dans le domaine. Notamment pour ce qui concerne le modèle de programmation parallèle Ct d'Intel, qui vise à « paralléliser » les applications sans avoir quasiment à réécrire le code. La première version bêta de Ct est annoncée pour la fin de l'année. L'intégration avec les technologies de RapidMind interviendra logiquement par la suite. Et « Plus tard dans l'année, nous fournirons plus de détails concernant l'intégration de la plate-forme RapidMind et les produits et technologies logiciels d'Intel, y compris la technologie Ct », écrit James Reinders sur le blog « Intel Software Network ».
Croissance externe accélérée
Ce n'est pas la première fois que la firme de Santa Clara cherche à accélérer les développements de ses technologies d’optimisation des applications pour les architectures parallèles. En juin déjà, Intel avait investi pas moins de 884 millions de dollars dans Wind River, développeur d’un hyperviseur pour systèmes embarqués qui s'appuie directement sur le matériel (Type 1) et non par voie logiciel (Type 2), moins performante. Quant à RapidMind, l'entreprise basée à Waterloo en Ontario (Canada) créée et dirigée par Ray DePaul (photo), ce ne sera pas morne plaine, bien au contraire… Ce rachat devrait lui permettre de poursuivre et même d’accélérer la commercialisation de ses produits tout en enrichissant son support clients. Selon le porte-parole d'Intel, Bill Kircos, elle devrait également conserver l'ensemble de ses employés.
Du multi-coeur à l’ouvrage
Si les processeurs de nouvelle génération (multi-cœurs) et les GPU sont taillés pour supporter les traitements parallèles, les applications telles qu’elles sont développées ne sont pas toujours en mesure de tirer parti de ces nouvelles architectures pour cause de complexité de programmation (et de génération vieillissantes des softs). L’ensemble des outils proposés par RapidMind (un ensemble de bibliothèques C++) permet d’optimiser le code des applications pour les puces multi-cœurs, et de répartir la charge intelligemment sur l’ensemble des cœurs. En outre, RapidMind propose également d’optimiser les données et des outils de diagnostic.
Si Intel proposait déjà des compilateurs sachant tirer parti des architectures multi-cœurs, l’arrivée des cerveaux de RapidMind va renforcer son expertise dans le domaine. Notamment pour ce qui concerne le modèle de programmation parallèle Ct d’Intel, qui vise à « paralléliser » les applications sans avoir quasiment à réécrire le code. La première version bêta de Ct est annoncée pour la fin de l’année. L’intégration avec les technologies de RapidMind interviendra logiquement par la suite. Et « Plus tard dans l’année, nous fournirons plus de détails concernant l’intégration de la plate-forme RapidMind et les produits et technologies logiciels d’Intel, y compris la technologie Ct », écrit James Reinders sur le blog « Intel Software Network ».
Croissance externe accélérée
Ce n’est pas la première fois que la firme de Santa Clara cherche à accélérer les développements de ses technologies d’optimisation des applications pour les architectures parallèles. En juin déjà, Intel avait investi pas moins de 884 millions de dollars dans Wind River, développeur d’un hyperviseur pour systèmes embarqués qui s’appuie directement sur le matériel (Type 1) et non par voie logiciel (Type 2), moins performante. Quant à RapidMind, l’entreprise basée à Waterloo en Ontario (Canada) créée et dirigée par Ray DePaul (photo), ce ne sera pas morne plaine, bien au contraire… Ce rachat devrait lui permettre de poursuivre et même d’accélérer la commercialisation de ses produits tout en enrichissant son support clients. Selon le porte-parole d’Intel, Bill Kircos, elle devrait également conserver l’ensemble de ses employés.
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