Déjà, en novembre dernier, nous vous disions que Qimonda était en difficulté. Et la situation n’a cessé d’empirer… Selon un analyste allemand, cité par l’agence Reuters, Qimonda perdrait actuellement chaque trimestre de 300 à 400 millions d'euros ! Trop c’est trop… Le constructeur allemande de mémoires et filiale à 77% d’Infineon vient donc de décider de déposer son bilan et compte sur l’énergie du désespoir pour qu’un nouveau et dernier plan de redressement puisse lui permettre de reprendre pied dans un contexte économique ô combien délicat.
Déjà, en septembre dernier, un train de suppressions de postes avait été initié avec plus de 300 licenciements sur un personnel comptant plus de 13 000 personnes. Mais la purge, si elle était nécessaire, n’aura pas été suffisante. En décembre dernier, Qimonda avait fait l’objet d’un coup de pouce du Land de Saxe où est installée sa principale unité de production. 325 millions d'euros devaient ainsi être injectés, mais la dégringolade rapide des finances de la société n’auront pas permis la finalisation de cette opération. Selon des sources proches du dossier, citées par Reuters, ce coup de pouce n’aurait, de toutes façons, pas été suffisant pour permettre à Qimonda de respirer de nouveau… A suivre…
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Déjà, en septembre dernier, un train de suppressions de postes avait été initié avec plus de 300 licenciements sur un personnel comptant plus de 13 000 personnes. Mais la purge, si elle était nécessaire, n’aura pas été suffisante. En décembre dernier, Qimonda avait fait l’objet d’un coup de pouce du Land de Saxe où est installée sa principale unité de production. 325 millions d’euros devaient ainsi être injectés, mais la dégringolade rapide des finances de la société n’auront pas permis la finalisation de cette opération. Selon des sources proches du dossier, citées par Reuters, ce coup de pouce n’aurait, de toutes façons, pas été suffisant pour permettre à Qimonda de respirer de nouveau… A suivre…
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