En 1997, Olivetti avait cédé son activité de fabrication de PC à la société Piedmont International qui elle-même l’a fait passer de main en main (OPC, OP Computer, ICS) jusqu’à une faillite définitive en 2004 sous la marque Oliit. On pourrait en rester là, et pourtant sont apparus sur les marchés italien et, tout récemment, marocain via la société Dataplus, de nouveaux PC siglés Olivetti. Ces produits sont pour l'heure totalement absents de l’offre Olivetti en Allemagne, en Espagne, en France et au Royaume-Uni. Leurs prix attractifs leur ont permis d’être retenus dans le cadre de l’opération Nafid@ d’équipement informatique des écoles au Maroc, sous l’égide de la fondation Mohammed VI.
Mais, fait étonnant : les produits proposés au Maroc sont d’un point de vue design et structuration de l’offre radicalement différents de ceux proposés en Italie, où ils ont davantage l’aspect de simples clones et semblent conçus par l’espagnol Airis. Reste à voir si cette relance est un simple coup d’essai ou le prélude à un plus large retour d’Olivetti sur le marché européen du PC. Et si Olivetti se décidait à revenir en France, nous ne saurions que trop leur conseiller de choisir d'y importer leur gamme marocaine, beaucoup plus réussie que l'italienne...
En 1997, Olivetti avait cédé son activité de fabrication de PC à la société Piedmont International qui elle-même l’a fait passer de main en main (OPC, OP Computer, ICS) jusqu’à une faillite définitive en 2004 sous la marque Oliit. On pourrait en rester là, et pourtant sont apparus sur les marchés italien et, tout récemment, marocain via la société Dataplus, de nouveaux PC siglés Olivetti. Ces produits sont pour l’heure totalement absents de l’offre Olivetti en Allemagne, en Espagne, en France et au Royaume-Uni. Leurs prix attractifs leur ont permis d’être retenus dans le cadre de l’opération Nafid@ d’équipement informatique des écoles au Maroc, sous l’égide de la fondation Mohammed VI.
Mais, fait étonnant : les produits proposés au Maroc sont d’un point de vue design et structuration de l’offre radicalement différents de ceux proposés en Italie, où ils ont davantage l’aspect de simples clones et semblent conçus par l’espagnol Airis. Reste à voir si cette relance est un simple coup d’essai ou le prélude à un plus large retour d’Olivetti sur le marché européen du PC. Et si Olivetti se décidait à revenir en France, nous ne saurions que trop leur conseiller de choisir d’y importer leur gamme marocaine, beaucoup plus réussie que l’italienne…
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