Doper les capacités des environnements SharePoint Server 2007. C’est le sacerdoce de NetApp SnapManager 2.0 « for Microsoft Office SharePoint Server 2007 » qui vient d’apparaitre sur le marché. A la clé, selon son éditeur, la possibilité d’accroitre l’efficacité du stockage, de réduire les coûts et d’améliorer la protection des données tant en environnements physiques que virtuels.
Commentaire de Mark Peters, analyste chez Enterprise Strategy Group : « L’augmentation des déploiements de Microsoft Office SharePoint Server 2007 engendre une augmentation des besoins en stockage associé. Les clients qui utilisent SharePoint n’attendent que deux choses de leur solution de gestion de données : de la valeur ajoutée et la possibilité d’intégrer les données à une architecture flexible, évolutive. NetApp répond aux besoins des utilisateurs de SharePoint avec de la déduplication, du tiering, un provisioning flexible en plus de la sauvegarde et reprise d’activité dans la gestion globale.»
L’oeil ouvert en permanence
NetApp précise par ailleurs que ce cru 2.0 identifie et surveille automatiquement toute donnée associée à SharePoint Server, qu’il détecte les données nouvelles ou non protégées ce qui autorise un provisionnement aisé du stockage pour prendre en charge les montées en puissance sans impacter pour autant la performance du système.
En outre SnapManager peut aussi automatiser les processus de sauvegarde, ainsi que protéger ou récupérer toute taille de base de données en quelques minutes à peine.
Pour l’éditeur, il s’agit d’offrir aux clients de quoi rationnaliser et tester leur environnement personnalisé SharePoint. Une fonctionnalité tirant profit de la technologie NetApp FlexClone. Celle-ci offre en effet de quoi personnaliser notamment l’interface utilisateur. Les clients peuvent, en outre, réaliser un test de production complet en quelques minutes avec un minimum d’espace de stockage additionnel. Enfin, l’intégration aux technologies NetApp Protection Manager et SnapMirror fournit un support de gestion de données supplémentaire ainsi que des capacités de reprise d’activité de données critiques. Les environnements virtualisés sont quant à eux plus flexibles.
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