Le diable prêt à sortir d’Allemagne

Dans le cadre d’une interview accordée à notre confrère IT-Business, Axel Grotjahn, le patron de Devil, a expliqué qu’aucune nouvelle entrée en bourse ne serait tentée avant que les marchés ne se soient calmés. Et qu’en tout état de cause, une telle entrée n’aurait servi qu’à accélérer les projets de développement du grossiste. Mais ses résultats récents sont tels que la société peut se passer pour l’instant de l’argent de la bourse, pour notamment procéder à des acquisitions destinées à supporter son développement à l’international : « nous travaillons déjà avec l’Europe du Sud, où la fiabilité de la distribution allemande est appréciée. Et nous scrutons toutes les opportunités, aussi bien en Europe de l’Ouest que de l’Est, même si les perspectives à long terme semblent plus intéressantes sur cette dernière », explique Axel Grotjahn.

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