Licenciements chez Bell

Le but avoué est de diminuer de 10% ses coûts de fonctionnement, en combinant ces licenciements à une taille des dépenses opérationnelles (remplacement des déplacements par de la vidéoconférence, réduction de certains budgets comme la formation, etc.). L’essentiel de ces licenciements concerne semble-t-il les fonctions de back-office. John Toal, le président de Bell pour l’Europe, reste néanmoins confiant au niveau des résultats de la société, notamment au niveau des ventes logicielles et des marchés verticaux qui restent selon lui très dynamiques et prometteurs.

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